Nuit bleue et le silence en devient assourdissant. Je prie pour que quelque chose arrive,n'importe quoi. "Lentement je joint les deux mains,espérant à la fois tout et à peu près rien." Que peut il se passer dans une chambre vide de 9 mètres carrés de toute façon ? Je me demande si on se sent moins seul quand on croit en Dieu. Je devrais peut être essayer... Je déchire des feuilles chargées de signes pour finalement résumer cette idée: je ne suis pas à tes pieds,c'est bien plus que cela. Je n'aime pas le papier qui brule: l'odeur est infecte et les couleurs horribles. Les fontaines ne sont plus gelées,quelques morceaux de glace qui flottent encore,un peu perdus. Je suis con. Je suis faible. Je suis gelé.Je n'arrive à rien. En me regardant dans la vitre du train je décide que je déteste ce visage étranger,quelqu'un s'y est perdu et cette pensée m'est insupportable.On peut encore apercevoir son regard derrière mes yeux et on dirait qu'il supplie... Ne reste plus qu'à le noyer définitivement puis écouter cette musique à l'odeur de nuit pâle car elle me tient compagnie dans le froid. Je me sent comme une éponge prise dans un morceau de glace.
Et Février s'avance lentement...
Zelda,I love you Zelda
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